Tout d’abord il faut saluer le succès de cette soirée qui a attiré une vingtaine de personnes (malgré la publicité tardive) pour débattre et s’informer sur ce sujet d’actualité. Nous étions exactement 23 personnes et la salle prévue ne pouvait en contenir guère plus.
Elections régionales : un vote qui désavoue le sarkozysme… Certes, rien n’a changé institutionnellement depuis le 21 mars, cette droite ultra réactionnaire, destructrice des services publics et de nombreux acquis sociaux, est toujours aux manettes. Et le parti socialiste est toujours aux commandes de la majorité des régions. Mais un nouveau rapport de forces émerge : non seulement la gauche et la gauche de la gauche sont largement majoritaires, mais l’hyper centralisation du pouvoir comme les choix d’un gouvernement de plus en plus sourd aux revendications populaires génèrent un désaveu massif.
Haïti a souvent été victime des catastrophes naturelles (tremblements de terres, cyclones, inondations…), mais c’est bien le poids de son histoire –colonisation, esclavage, poids écrasant de « sa » dette, dictatures- qui la rend si vulnérable aujourd’hui. Non, Haïti n’est pas maudite, aucune fatalité n’est en cause, mais bien l’exploitation et l’injustice inouïes dont est victime le peuple haïtien depuis toujours…
Au moment où un mouvement d’aide humanitaire se déroule en faveur des Haïtiens, il est bon de ressortir des tiroirs cet article de Rosa Luxembourg. En effet, le 8 mai 1902, sur l’île de la Martinique, la montagne Pelée a connu une violente éruption qui a détruit la ville de Saint-Pierre. Alors animatrice de l’aile gauche du Parti social-démocrate allemand (SPD), Rosa Luxembourg a commenté le 15 mai cette tragédie dans le Leipziger Volkszeitung.
Arrivé à Copenhague, juste après la conférence de l’ONU sur le réchauffement climatique, je suis resté deux semaines dans cette ville marquée par l’eau (mer, canaux, lacs), en une période où les jours sont extrêmement courts. J’ai ainsi pu me rendre compte de l’atmosphère qui y régnait.
Il est 8h du matin, ce vendredi 11 Décembre 2009, où une marée bleue déferle Gare de Lyon, à Paris.
Plusieurs centaines de personnes se sont donné rendez-vous, suite à l’appel de différentes ONG, associations, afin de participer au contre sommet et à la grande manifestation prévue à Copenhague, lors du sommet sur le climat.
A l’arrivée à la gare un K-Way bleu est distribué à chaque personne, d’où l’apparence de la marée bleue.
Lisez Gauche Alternative, le journal des Alternatifs-Isère et abonnez-vous pour recevoir chez vous le dernier numéro dès sa sortie
Grenoble veut devenir la capitale française des nanotechnologies. Après la construction d’un site de recherche et développement public-privé appelé MINATEC sur le site du CEA en voie de dénucléarisation, une clinique expérimentale chargée de développer des thérapies à base de nanocomposants est en construction sur fonds publics de la Région, du Département, de l’Agglomération et de la Ville de Grenoble (l’État s’étant récemment retiré du projet). Le groupe des élus écologistes et alternatifs de Grenoble a été le seul à poser des questions restées sans réponses sur les risques et les finalités de ce projet.
Depuis quelque mois, les MJC de Grenoble sont en conflit avec le maire de cette ville qui veut leur supprimer une partie de leurs subventions. Pour nous parler de cette question, Gauche Alternative donne la parole à une salariée de MJC Annie Caillault et à deux présidents, Catherine Gaume (Anatole France) et Bruno Camby (Abbaye).
fr Presse alternative Gauche alternative ?